terça-feira, 2 de setembro de 2025

Pimentorium In Anus Outrem - Sans la moindre honte

Mon livre « L’Assureur » ne portera plus ce titre. Sa publication est prévue, en principe, pour le mois d’Octobre.
Après avoir totalisé, en l’espace d’un an, plus de 200 000 vues ici et sur mon LinkedIn, il aurait été une erreur de ne pas capitaliser sur l’un des titres les plus lus. D’où ce changement de plan.

Il n’est toutefois pas encore certain que je le publierai. Mais si, lors de la première audience du procès, prévue à la mi-Septembre, j’estime que sa parution est essentielle pour la préservation de mon honneur, le livre sera immédiatement publié.
En d’autres termes, tout ce qui dépend de moi est déjà accompli, mais je préfère la paix à une guerre sans fin.

Ce livre sera une véritable « bombe » : il démontre, pièces à l’appui, l’illégalité de ce que nous avons subi. Tous les faits y sont établis à 100 % sur la base de documents issus des archives mêmes de la Compagnie d’assurances, de celles de ses entreprises clientes, ainsi que de supports électroniques conservés à la fois par moi et par une tierce personne.
Rien ne restera sans preuve, absolument rien!!
Tous les contrats non respectés y figureront, certains révélant bien plus qu’un simple manquement contractuel : de véritables infractions pénales.

Ma position est confirmée par l’un des avocats les plus prestigieux de notre pays et par un professeur éminent en droit pénal.
Mon entreprise a été conduite à la faillite, nous nous sommes retrouvés au chômage, nous avons tout perdu. Mais aujourd’hui, il est possible de démontrer que nous étions en réalité créanciers de ceux qui, de manière irresponsable, nous ont précipités dans l’abîme, en nous réclamant, « comptant », plus de 170 000 euros — alors que nos commissions annuelles n’atteignaient guère ce montant.

Les preuves ne sont pas manipulables : il s’agit d’extraits, de reçus, de virements bancaires, de la comptabilité auditée et approuvée d’une Compagnie d’assurances, ainsi que d’une série d’autres éléments qui seront produits devant le Tribunal.

Plusieurs dates sont déterminantes : 1992, 2001, 2004, puis 2008, 2010 (dans l’entreprise « Luis Ferraz Corretores de Seguros »), qui a déclenché le début de l’effondrement en 2017 ; 2013, lorsque je suis entré dans « Luis Ferraz Corretores » et ai dû affronter le problème hérité de 2010 ; 2017, quand ce problème a éclaté au grand jour ; et enfin 2020.

D’un côté, j’aimerais enfouir tout cela. Mais peut-être vaut-il mieux, en définitive, qu’un juge, le ministère public et l’opinion découvrent la vérité de ce qui s’est réellement passé.


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